« bras-le-corps », c’est bien sûr l’évocation de l’expression « à bras le corps ».
Saisir, porter de toute sa force, embrasser.
Et puis les deux tirets, ou « traits d’union ». Relier les bras au corps, relier la tête et la main, relier comme une recherche d’unité pour Laure Bollinger, comme un recherche d’espace pour l’imaginaire pour Ji-Yun. Toutes deux artistes pluridisciplinaires, elles exposent ici des dessins et installations.
Gwennaëlle Roulleau, musicienne et compositrice en électroacoustique , proposera une improvisation le jeudi 6 septembre, qui s’appuiera sur la matérialité des œuvres présentes dans la galerie.